Soulager nos maux avec notre cerveau, (essai et constat, travail sur soi)

Bonjour les p'tits loups,

Notre cerveau a bien des fonctions, que l’on ignore toujours et bien des pouvoirs nous permettant malgré nous de nous prémunir contre, entre autre, le mal d’amour … Pourquoi, parler du cerveau ? Je suis persuadée qu’outre le fait que la pensée peut nous affaiblir, cette dernière doit pouvoir nous guérir, ou pour le moins, soulager nos maux. Mais prenons le mal à la racine voulez-vous … à commencer par les petits maux, les petits soucis du quotidien .. voici ma vision d’une certaine guérison, qui selon moi doit commencer par éviter la propagation et l’invasion de ces quelques menaces souvent tenaces dont notre entourage, ami-e-s, collègues de travail, voisinage, inconnus auxquels nous avons à faire face, sont le danger.

Je m’explique du mieux que je le peux et avec mes mots.

Le cerveau, où sont logés toutes nos fonctions nerveuses,  pour peu qu’il soit enclin à accepter les échecs, fonctionne à ce moment-là de telle sorte à ce qu’il capte plus aisément que d’autres la défaite. Se chargeant de tensions néfastes et devant l’irrespect, l’indifférence, la violence, la perte d’un emploi, le mépris, le rejet, que sais-je, il arrive que nous nous laissons aller à l’idée que la seule chose dont nous sommes capables est d’échouer, dans tous les domaines et la plupart du temps, puisque ne trouvant pas l’écoute auprès de notre entourage comme auprès de notre prochain ; il va de soi que pour certains, nous nous persuadons facilement de notre déroute. C’est ainsi qu’isolés, les acteurs de nos vies que nous sommes, après avoir été ignorés, gargarisons notre cerveau et certaines zones cérébrales d’amères désillusions, ces dernières nous bourrant le crâne jusqu’à ce que des cellules bien définies tombent en quelque sorte « en panne » … j’image bien sûr mais c’est ainsi que sous ces effets dévastateurs, entraînant sur nous nombre de rancoeurs, notre cerveau devient alors une « usine » à fabriquer les maux sur un corps qui le suit comme son frère jumeau.

La porte sur les éléments pathogènes étant ouverte, comment éviter alors toutes ces sortes de gênes, les unes moins féroces que d’autres agissant sur nos corps comme autant de petites morts. Sur l’échelle de la douleur, nous allons ainsi grimper en subissant leurs effets. Affaiblis et parce que nous en sommes convaincus, nous nous installons dans cette sorte de phobie qui nous pourrit la vie. De la phobie à la maladie le pas étant vite franchit … Et voilà comment la plupart du temps, nous côtoyons la déprime ou la maladie, ces douleurs du corps tandis que, envahit par les émotions, notre cerveau nous appelle à leurs dévotions.

Dans le cas contraire et parce que nous souhaitons nous y soustraire, notre cerveau ayant choisi de méditer, après avoir mûrement réfléchi à cette interaction entre notre psyché et notre corps, nous l’empêchons parce que tel est notre choix, de plonger dans le remords. En effet, en nous attachant alors à lui recommander de ne pas porter plus de significations à ces valeurs qui nous déchirent l’âme et le cœur, nous nous préservons des maux dont la source est dans notre cerveau. Pour cela, et parce que nous ne désirons pas employer ou le plus tard possible les grands moyens que sont certains médicaments, nous leur préférons d’autres chemins plus subtils afin d’éviter le terrain glissant sur lequel nous entraînent les tourments. Nous avons à notre disposition bien des méthodes pour faire en sorte que notre esprit malmené et notre corps s’accordent.

Ces méthodes modernes et ayant fait leurs preuves, nous permettent d’apprivoiser nos peurs, le stress, les émotions, nous soulageant afin de préserver notre santé et parfois guérir des maux dont nous subissons les graves effets.

Qi Cong, méditations, reïki,tout ce qui a pour effet (placebo) de nous redonner confiance et nous plaire à nouveau tandis que la vie nous bouscule, que l’égoïsme nous tient sous sa férule …

Ainsi rabibochés, notre corps et notre psyché peuvent repartir d’un bon pied.

Belle journée à vous les p'tits loups de partout, prenez soin de vous.

Samie Louve.    

Ceci est un essai, qui ne cherche nullement à convaincre …