Oui l'homophobie tue ...

Bonjour les p’tits loups,

Toutes et tous sommes convaincus qu'il y a urgence à endiguer la souffrance homosexuelle ... il ne fait aucun doute que tous sommes conscients de ces situations infiniment graves et malheureuses pour un trop grand nombre de nos enfants. Et parce qu'il nous faut agir en personnes responsables et respectueuses du choix de chacun, tenter de le comprendre et accepter pour accompagner dans son désir d’affronter la vie, la jeune femme ou le jeune homme pris au piège de ses sentiments.

Ne pas se sentir accablé par les préjugés familiaux ou extérieurs à la famille comme dans le milieu scolaire ou professionnel mais plutôt se savoir soutenu et aidé à traverser cette crise d’identité qu’il affronte le plus souvent seul, non pas avec cette sensation d’être abandonné par les siens ou même ses amis. Hélas, nous le savons pour l'avoir vécu la plupart, de nombreux jeunes gens craignent le jugement qui est fait sur leur orientation sexuelle lorsque celle-ci s’avère être « anormale » ou simplement différente aux yeux de la plupart des gens ; ne trouvant pas l’écoute essentielle à leur épanouissement, ils sont alors bien en peine de confier leurs désarrois à qui que ce soit.

Il n’y a pas de plus grand malaise intérieur que celui provoqué par la sensation d’abandon, ou encore le regard d’autrui que l’on sent peser lourdement sur soi, comme l’incompréhension ou bien l’humiliation, voire le rejet quand ce n’est pas la violence verbale ou physique… Et lorsqu’une/un jeune homosexuel croise sur sa route l'une ou l'autre de ces formes d’hostilités, indignes d’un être humain, est-on vraiment en droit d’affirmer que l’homophobie seule n’est pas responsable de la souffrance chez les personnes homosexuelles ?

Que la journée vous soit douce les p’tits loups de partout.

Samie Louve.

Il y a urgence à endiguer l’expansion de la souffrance homosexuelle
Pourquoi le taux de suicides est il si élevé chez les personnes homosexuelles ? Il ne s'agit pas seulement de 10, 20 ou 50 % en plus, mais 6 à 14 fois de plus que la moyenne (600 % à 1400 % en plus) ! Mettre cela sur le compte de la seule "homophobie" n’est pas crédible : les handicapés, les sans papiers, les sortants de prison sont également sujets à de sévères discriminations, sans se suicider plus que les autres. Et pourtant ils ne disposent pas des relais médiatiques et financiers qui soutiennent les "communautés homosexuelles".

Il est d'ailleurs hautement contestable que les personnes homosexuelles se plaignent d'abord de l'homophobie. Beaucoup, qui ne se retrouvent pas du tout dans la fuite en avant de la mouvance militante - et ce qu’elle signifie - avouent un mal être intérieur...et semblent très peu enclins à tirer de l’orgueil de la situation qu’ils vivent parfois en écho à des blessures anciennes et/ou à une maturation qui ne s’est pas faite.

source : http://www.blogdei.com