Pile ou face ...

Bonjour les p’tits loups,

Je ne peux résister à la tentation et de ce fait me joins aux différentes appréciations médicos-socialos-et autres convictions thérapeutiques entourant la santé du premier homme de notre pays !

A propos de l’interruption momentanée de l’image qui ne nous est pas donné de monsieur Sarkozy, nous pouvons facilement imaginer que le malaise de celui-ci n’est ni plus ni moins une sensation pénible due au caractère insociable s’installant jour après jour autour de sa personne et l’indisposant au point de faire basculer son impétueux tempérament qui n’en demandait pas tant. Défaillir pour cause de malaise social a de quoi vous miner le moral et vous entraîner inévitablement vers une sorte de vague à l’âme syncopale à tendance brutale vous faisant perdre un l’équilibre déjà précaire ... puis tomber face contre terre, face aux milliers de « pov’cons » tenus d’assister à la temporaire indisposition d’un homme qui se croyant surdoué parmi les surdoués, use et abuse de son corps pour nous prouver combien il est fort et au-delà, faire de son âge et quelques soient ses raisons, qu’elles demeurent l’apanage d’un président dans sa fonction. Il n’y a pas de meilleure façon de nous démontrer combien au contraire qu'il est absurde de se faire plus grand qu’on ne l’est. Moralité … mieux vaut un président en bonne santé, qui assume ses responsabilités (et qui tienne ses promesses) que celui qui fait les choses à moitié pour cause de trop d’irritations entraînant avec elles la lente irrigation d’un cerveau déjà suralimenté.  Que cela ne nous empêche pas de souhaiter une meilleure santé à  l’homme aux multiples cerveaux à qui nous envoyons nos voeux de prompt rétablissement. 

Bien à vous.

Samie Louve.