Dubec .... suite ... Cannelle suite ....
Bonjour les p'tits loups,
Un bref passage par chez moi pour vous soumettre deux nouvelles importantes à mes yeux et dont vous prendrez connaissance sans nul doute ! Merci à vous et à bientôt mes amis.
D'une part, ce qui suit et déposé par Brigitte Brami en commentaire sur le blog du 21 Septembre 2009 et concernant le "tristement célèbre" Docteur Michel Dubec, le psy qui justifie les viols .... vient ensuite ce qui me tient à coeur ... la mort de l'ourse Cannelle, tuée lors d'une battue aux sangliers en 2004 ... après avoir évoqué la légitime défense, le chasseur béarnais avait été relaxé en 2008. En Septembre de cette année, l’arrêt de la cour d’appel dit tout le contraire et, pour avoir tiré mortellement sur l’espèce protégée, René Marquèze devra donc payer 11 000 euros de dommages et intérêts à sept associations ainsi que 3 500 euros au titre des frais de justice pour un « Comportement fautif ». De fait, les chasseurs en décidant de la battue, se doutaient qu'ils croiseraient l'ourse et son ourson, ce qui ne les a pas empêché de décider la traque aux sangliers. Justice est rendue envers ce magnifique animal, l'Ours, espèce protégée, symbole de la nature sauvage et tuée stupidement par un homme entêté, armé et reconnu responsable de ses actes.
Belle journée à vous les p'tits loups de partout.
Samie Louve.
.DERNIERES NEWS DUBEC LE PSY QUI JUSTIFIE LE VIOL
DERNIERES NEWS :
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Je me permets de venir vers afin de vous informer que le Docteur Michel DUBEC, expert psychiatre auprès des tribunaux, a été convoqué devant la Chambre Disciplinaire du Conseil de l’Ordre des Médecins - au 9 rue Borromée, Paris 15ème - toute la journée du mardi 22 septembre 2009 - faisant face à huit plaignants le matin, et deux (trois étant convoqués) l'après-midi.
La séance a été publique. Plusieurs autres plaintes ont également été adressées au Conseil de l'Ordre et seront traitées ultérieurement.
Michel Dubec est tristement célèbre pour « Le Plaisir de Tuer », complaisant récit autobiographique où il exhibe, entre autres, l’admiration teintée d’envie que lui inspire le tortionnaire-violeur -tueur : Guy Georges; ce livre a d'ailleurs valu à son auteur une pétition de près de 1350 signataires à son encontre et adressée au Garde des Sceaux.
Ce 22 septembre 2009, le Dr Michel Dubec a tenté de répondre de l’accusation de diffamation et d’insultes racistes envers Maurice Joffo (auteur de « Pour Quelques Billes de Plus »). Cet expert a déjà été condamné le 15 février 2008 au TGI de Paris pour insultes et insultes publiques à caractère racial (que vous trouverez en pièce jointe).
Ainsi, cette journée fut l'occasion à ce que plusieurs autres plaignants et avocats expriment leurs désaccords envers ce médecin - toujours en exercice et encore aujourd'hui expert psychiatre auprès des Tribunaux et à la Cour de Cassation - qui dans ce même livre déroge à son droit de réserve inhérente à sa profession. La présidente du CO a pu en effet considérer que le secret médical avait été violé. De même, l'avocate de l'Ordre des médecins a-t-elle pu estimer que Michel Dubec « n’a pas mesuré la portée et la gravité de ses actes » et de ce fait « discrédité l’ensemble du corps médical », en se livrant notamment dans son livre à des propos indignes, des injures haineuses, et même des considérations ordurières au sujet des personnes qu'il a expertisées dans le cadre de son exercice professionnelle, via sa mission d'expert psychiatre.
Parmi les paroles des avocats, on retiendra qu'ils considèrent l'ouvrage de Dubec caractérisé par le « pathos résultant d’une maïeutique accouchant des problèmes intérieurs de Michel Dubec » ; « On vous fait comprendre qu’il serait intouchable, voire que sa notoriété l’autorise à dire n’importe quoi, » gronda- l'un des avocats, estimant que cet expert « règle ses problèmes à travers ses patients » et qu’il serait « une sorte de danger public >>. Enfin, il sera dit dans cette Chambre disciplinaire que Michel Dubec était presque toujours désigné expert pour les procès à grand retentissement « en raison de copinages de palais de justice ».
Brigitte Brami.