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"Lez-La-Meute" (tranquille)
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12 octobre 2009

Dubec .... suite ... Cannelle suite ....

CannelleBonjour les p'tits loups,

Un bref passage par chez moi pour vous soumettre deux nouvelles importantes à mes yeux et dont vous prendrez connaissance sans nul doute ! Merci à vous et à bientôt mes amis.

D'une part, ce qui suit et déposé par Brigitte Brami en commentaire sur le blog du 21 Septembre 2009 et concernant le "tristement célèbre" Docteur Michel Dubec, le psy qui justifie les viols .... vient ensuite ce qui me tient à coeur ... la mort de l'ourse Cannelle, tuée lors d'une battue aux sangliers en 2004 ...  après avoir évoqué la légitime défense, le chasseur béarnais avait été relaxé en 2008. En Septembre de cette année, l’arrêt de la cour d’appel dit tout le contraire et, pour avoir tiré mortellement sur l’espèce protégée, René Marquèze devra donc payer 11 000 euros de dommages et intérêts à sept associations ainsi que 3 500 euros au titre des frais de justice pour un « Comportement fautif ». De fait, les chasseurs en décidant de la battue, se doutaient qu'ils croiseraient l'ourse et son ourson, ce qui ne les a pas empêché de décider la traque aux sangliers. Justice est rendue envers ce magnifique animal, l'Ours, espèce protégée, symbole de la nature sauvage et tuée stupidement par un homme entêté, armé et reconnu responsable de ses actes.


Belle journée à vous les p'tits loups de partout.

Samie Louve.
amours_de_louveteaux

.DERNIERES NEWS DUBEC LE PSY QUI JUSTIFIE LE VIOL
DERNIERES NEWS :
A DIFFUSER LARGEMENT ET POSTER SUR LES SITES SVP
Je me permets de venir vers afin de vous informer que le Docteur Michel DUBEC, expert psychiatre auprès des tribunaux, a été convoqué devant la Chambre Disciplinaire du Conseil de l’Ordre des Médecins - au 9 rue Borromée, Paris 15ème - toute la journée du mardi 22 septembre 2009 - faisant face à huit plaignants le matin, et deux (trois étant convoqués) l'après-midi.
La séance a été publique. Plusieurs autres plaintes ont également été adressées au Conseil de l'Ordre et seront traitées ultérieurement.

Michel Dubec est tristement célèbre pour « Le Plaisir de Tuer », complaisant récit autobiographique où il exhibe, entre autres, l’admiration teintée d’envie que lui inspire le tortionnaire-violeur -tueur : Guy Georges; ce livre a d'ailleurs valu à son auteur une pétition de près de 1350 signataires à son encontre et adressée au Garde des Sceaux.

Ce 22 septembre 2009, le Dr Michel Dubec a tenté de répondre de l’accusation de diffamation et d’insultes racistes envers Maurice Joffo (auteur de « Pour Quelques Billes de Plus »). Cet expert a déjà été condamné le 15 février 2008 au TGI de Paris pour insultes et insultes publiques à caractère racial (que vous trouverez en pièce jointe).

Ainsi, cette journée fut l'occasion à ce que plusieurs autres plaignants et avocats expriment leurs désaccords envers ce médecin - toujours en exercice et encore aujourd'hui expert psychiatre auprès des Tribunaux et à la Cour de Cassation - qui dans ce même livre déroge à son droit de réserve inhérente à sa profession. La présidente du CO a pu en effet considérer que le secret médical avait été violé. De même, l'avocate de l'Ordre des médecins a-t-elle pu estimer que Michel Dubec « n’a pas mesuré la portée et la gravité de ses actes » et de ce fait « discrédité l’ensemble du corps médical », en se livrant notamment dans son livre à des propos indignes, des injures haineuses, et même des considérations ordurières au sujet des personnes qu'il a expertisées dans le cadre de son exercice professionnelle, via sa mission d'expert psychiatre.

Parmi les paroles des avocats, on retiendra qu'ils considèrent l'ouvrage de Dubec caractérisé par le « pathos résultant d’une maïeutique accouchant des problèmes intérieurs de Michel Dubec » ; « On vous fait comprendre qu’il serait intouchable, voire que sa notoriété l’autorise à dire n’importe quoi, » gronda- l'un des avocats, estimant que cet expert « règle ses problèmes à travers ses patients » et qu’il serait « une sorte de danger public >>. Enfin, il sera dit dans cette Chambre disciplinaire que Michel Dubec était presque toujours désigné expert pour les procès à grand retentissement « en raison de copinages de palais de justice ».
Brigitte Brami.

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Commentaires
C
GROSSES BISES A TOI SAMIE. EXCUSES-moi de mon silence mais c. dur en ce moment...peux-tu stp poster sur ton/tes siteS le texte ci-dessous ? Merci d'avance. Bon week-end. Bises. Brigitte<br /> --------------------------------------------------------------------------------<br /> <br /> > (le ou les poètes, c’est-à-dire les patients de dubec !!!) <br /> <br /> SUITE DE L'affaire je me permets de revenir vers vous, <br /> <br /> Notre pervers national a donc fini par faire appel de la décision de la Chambre disciplinaire de l'Ordre départementale des médecins. En vérité, il l'a fait CONTRE MOI et pour gagner du temps, se faire encore et toujours passer pour une victime, lui qui connaît depuis 25 ans les décisionnaires en matière judiciaire et tous les journalistes qui font la pluie et le beau temps dans leur presse... <br /> Il s'agit pour nous de faire montre de derniers gros efforts car je risque trois ans fermes pour ...quelques cartes postales faits pour lesquels j'ai déjà été emprisonnée...6 mois ! <br /> Notre seule grande force, c'est d'inonder le plus de sites possibles de mon histoire, y compris avec pièces attachées pour preuves. <br /> Il m'arrive une très grosse injustice. Pourriez-vous en faire part et poster LE PLUS LARGEMENT POSSIBLE ce qui m'arrive; <br /> En vous remerciant d'avance. <br /> Brigitte Brami<br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> Lu dans un site qui reprend de façon assez complète l’affaire :<br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> 30 novembre 2009<br /> <br /> Affaire Brami-Dubec<br /> Addendum du 30 novembre 2009 : <br /> J'aurais une information, non vérifiée mais de source proche, selon laquelle Brigitte n'aurait fait qu'écouter son avocat en ne se présentant pas à l'audience de correctionnelle du 15 octobre 2009… Précisons tout de même qu’elle était hospitalisée depuis un mois et a livré à la justice tous les documents faisant foi que son état était incompatible à sa présence à l’audience.<br /> <br /> Un avocat qu'on n'entend pas vraiment depuis le début de cette affaire.<br /> <br /> Je ne sais pas si c'est vrai, peut-être bien, mais toujours est-il qu'elle se défend très mal en justice ou dans les médias.<br /> <br /> Peut-être n'est-elle tout bonnement pas capable de monter une défense en justice correcte ni de se protéger en général...<br /> <br /> D'après le journaliste "Jef Tombeur" elle aurait été condamnée non pas il y a 15 ans, mais en mars 2008 à un premier verdict de 15 mois d'emprisonnement et aurait effectué 8 mois, donc elle est allée en prison pour la première fois de sa vire et en est sortie il y a seulement un an tout juste, en novembre 2008, ce qui doit bien déboussoler quelqu'un surtout si elle n'a fait qu'embrayer aussitôt sa sortie sur des pétitions contre le livre de Dubec qu'elle venait de découvrir et ne soupçonnant pas je suppose une deuxième assignation consécutive qui interviendra le 15 octobre 2009, voir articles intervenus juste après la dernière condamnation toute récente de Jef Tombeur sur come4news et de Michèle Dayras sur Sisyphe.<br /> <br /> Dur de juger et un peu tard pour la rencontrer maintenant qu'elle est laissée à son triste sort de cavaleuse solitaire et dans une bien mauvaise passe !<br /> <br /> Je reproduis ici un article de Michèle Dayras (Sos-Sexisme) paru sur Sisyphe <br /> <br /> http://sisyphe.org/spip.php?breve1407<br /> <br /> Puis un article paru sur Come4news, signé du journaliste "Jef Tombeur"<br /> <br /> http://www.come4news.com/m-dubec-un-expert-judiciaire-aussi-conteste-qu-encense-747920<br /> <br /> Et je ne résiste pas à vous inviter à suivre ce lien pour une caricature du Dr Dubec par Emeline du blog Le Féminin l'emporte :<br /> <br /> http://femininlemporte.canalblog.com/archives/2008/02/29/index.html<br /> <br /> Article de Sisyphe : http://sisyphe.org/spip.php?breve1407 :<br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> jeudi 22 octobre 2009 <br /> Quand la justice française dérape ! <br /> <br /> Le Docteur Dubec (associé à son ex-femme) a porté plainte pour la deuxième fois, le 13 mars 2008, contre son ancienne patiente, Madame Brigitte Brami. Cette nouvelle procédure a porté sur trois cartes postales d’hommes nus -photographies non pornographiques - qu’elle lui aurait adressées en 2007, selon Me Kiejman.<br /> <br /> Cet avocat a ressorti de son chapeau de magicien des faits pour lesquels Madame Brami avait déjà été punie d’une peine d’emprisonnement de plusieurs mois en 2008, puisque l’envoi de ces cartes a précédé la première plainte à son encontre.<br /> <br /> Ce fractionnement intentionnel des plaintes du Dr Dubec - qui sait s’il n’en inventera pas une troisième demain ? - constitue un abus de droit.<br /> <br /> En vertu du délibéré du 15 octobre 2009, Brigitte Brami a écopé de 15 mois de prison fermes, auxquels s’ajouteront les 10 mois de sursis de l’an dernier.<br /> <br /> Pourtant, dans notre pays, on ne peut condamner une personne deux fois de suite pour des faits identiques.<br /> <br /> Mais que vaut la législation française pour le Dr Dubec ? Rien apparemment !!!<br /> <br /> Rappelons que le Conseil de l’Ordre des médecins de Paris, auquel j’avais signalé en février 2008 la dangerosité du livre du Dr Dubec, Le plaisir de tuer, m’avait inventé une « plainte » contre ce confrère avec date de dépôt, une « conciliation », une ‘absence d’excuse’ pour mon absence à cette conciliation dont je n’avais pas connaissance, une date de « désistement » de cette plainte, tout simplement pour me ridiculiser en me faisant perdre devant la Chambre disciplinaire, puisqu’un expert comme Dubec ne peut être condamné par la juridiction ordinale… Lire ici. Signalons que le journal, qui a interviewé le Dr Dubec début 2008, a rapporté sans ciller les mensonges de ce dernier : "Une autre plainte du praticien est aujourd’hui à l’instruction, qui vise des faits postérieurs." Or, il ne s’agissait pas de faits postérieurs, mais de faits antérieurs au premier jugement, et Dubec le savait pertinemment ! Lire ici. <br /> <br /> Ce médecin semble jouir d’une impunité que l’on peut questionner. Serions-nous dans une République bananière où le fait du Prince remplace la justice ?<br /> <br /> Docteure Michèle Dayras, (ex. Médecin Chef en radiologie, Présidente de SOS Sexisme)<br /> <br /> www.sos-sexisme.org/<br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> Article de Come4news : http://www.come4news.com/m-dubec-un-expert-judiciaire-aussi-conteste-qu-encense-747920 :<br /> <br /> Le 20 avril 2009, le chroniqueur judiciaire du Figaro signait un article totalement hors actualité qui fleurait bon la complaisance. Intitulé : « Les tourments d’un expert agréé par la Cour de cassation », il était consacré essentiellement au différent opposant l’expert psychiatre et essayiste mondain Michel Dubec à une certaine Brigitte B. Laquelle avait été condamnée, pour l’avoir « harcelé » à de la prison ferme… Nous publions ci-dessous le droit de réponse qu’elle vient d’adresser à la rédaction du Figaro. <br /> <br /> <br /> <br /> Bien étrange article que celui de Stéphane Durand-Souffland, le principal chroniqueur judiciaire du Figaro. Tout d’abord, en corps de texte comme en légende de la photo, il mentionne une condamnation à « dix-huit mois de prison, dont huit ferme ». La prison « ferme », qui est un vocable jargonnant de journaliste (c’est plus simple à exprimer ainsi), n’est évidemment pas mentionnée dans le jugement (rendu par Martine, Isabelle Pulver, Aïda Traore, magistrates du siège, à l’issue de l’audience du 12 mars 2008, le ministère public étant représenté par Corinne Moreau). Il suffisait à notre estimé confrère du Figaro de se rendre au greffe (et de demander en particulier, si cela était possible, à Aurore Davy, présente à l’audience) pour vérifier les dires de Michel Dubec. Il aurait constaté que Brigitte Brami, car c’est d’elle qu’il s’agit, n’avait été condamnée qu’à quinze mois « d’emprisonnement » (il y a d’autres qualifications pour définir la détention) et 3 000 euros de dommages et intérêts. Dans sa grande mansuétude, le tribunal n’infligeait pas d’amende, se contentant des habituels 90 euros de « droit fixe de procédure ». <br /> <br /> <br /> <br /> Une peine insolite au regard des faits <br /> <br /> Quinze mois, c’est seulement trois à huit de moins que ce qui est souvent infligé à des hommes violents se livrant à des voies de fait ou infligeant des coups et blessures à d’anciennes compagnes qu’ils harcèlent avec une formidable insistance, crevant les pneus de leur véhicule, se livrant à des scènes sur les lieux de travail ou de vie, &c. Il suffit de voir Michel Dubec (en photo sur Le Figaro) et de voir Brigitte Brami pour comprendre que les allégations relayées par Me Georges Kiejman (un ténor ami de Michel Dubec), faisant état d’agression physique de la part de la cliente du cabinet de Me Julie Noyal étaient fantaisistes au pire, assurément disproportionnées pour le moins... Brigitte Brami est une petite femme de très faible corpulence, qu’on ne peut cependant qualifier de malingre en français ou de « midget » en anglais, bien peu sportive, et qui, à la jeune quarantaine, n’est certes plus portée à faire le coup de poing si tant était qu’elle se soit jamais livrée à de vraies violences. Cependant, le tribunal a fait état de « violence aggravée par deux circonstances suivie d’une incapacité excédant pas huit jours. ». Ce qui est aussi allégué, c’est que Brigitte Brami aurait dénoncé son ancien psychiatre traitant au fisc, à la Sécurité sociale, au conseil de l’Ordre des médecins et à celui des experts. Pour les deux dernières instances, les faits sont patents, avérés, constants (non contestés par les parties), pour la CPAM , on accordera au tribunal le bénéfice du doute, mais pour le fisc… Plus d’un contribuable serait curieux de voir la ou les pièces fondant cette… opinion. Le fisc, tout comme les Douanes, est peu enclin à produire des lettres de dénonciation.. Mais il ne s’agit pas, ici, de traiter de choses jugées, surtout si le délai d’appel est dépassé, ni de contester que Brigitte Brami ait pu avoir, à l’égard de Michel Dubec, une attitude qu’un autre psychiatre a pu qualifier de « délirante ». Il s’agit de relever que Brigitte Brami a bénéficié d’une levée d’écrou au bout de huit mois, que la présentation du Figaro est erronée, et on peut suggérer quelques possibilités d’explication. <br /> <br /> <br /> <br /> Brigitte Brami n’est pas seule. <br /> <br /> Si Brigitte Brami est éventuellement la seule patiente à avoir été brutalement, de son fait, privée de suivi par son psychiatre traitant, Michel Dubec, et à s’être livrée à des demandes insistantes et outrancières pour obtenir de lui des explications, elle est loin d’être la seule à avoir tenté d’obtenir du Conseil de l’Ordre des médecins qu’il se prononce. Elle est surtout loin d’être la seule ou le seul à s’interroger sur la nature exacte des expertises de Michel Dubec. Lequel, expert fort médiatique, ne voit pas toujours ses conclusions suivies par les tribunaux, loin de là. Michèle Loup, conseillère régionale de l’Île-de-France, s’était adressée à la Garde des Sceaux, Rachida Dati, pour protester contre les prises de position publiques de Michel Dubec. Notre confrère ne pouvait non plus ignorer que, du 2 au 4 mars derniers, Michel Dubec avait préféré laisser Jean-Claude Bossard soutenir les arguments qu’il avait développés dans l’affaire Pascau. Stéphane Pascau, partie civile dans l’affaire du meurtre (possiblement prémédité) de sa mère, avait eu à connaître des expertises de Michel Dubec disculpant l’assassin. « Le jury n'a été dupe de rien. L'accusé a été reconnu coupable et responsable, et condamné à cinq ans avec sursis et dix ans d'interdiction de séjour dans le département. Ceci peut paraître peu cher pour un assassinat, mais l'homme que l'on jugeait n'avait raisonnablement plus rien à faire en prison à 82 ans, ralenti et désormais handicapé, alors qu'il ne l'était pas au moment du crime. Nous avons nous-mêmes demandé à ce qu'on lui évite l'enfermement. » Ainsi s’exprime Stéphane Pascau. Un autre « expertisé » par Michel Dubec tente aussi, vainement, de faire valoir sa contradiction. Il fait état, en privé, de sa véritable « peur » qu’inspirerait Michel Dubec à qui se dresse sur sa route. C’est peut-être exagéré : Michel Dubec, physiquement, en dépit de sa prestance, ne fait peur à personne. Mais surtout, le fond de l’affaire est que Brigitte Brami a été soutenue dans sa critique du livre de Michel Dubec, Le Plaisir de tuer, co-rédigé avec la journaliste Chantal de Rudder (Seuil éditeur). Elle a été soutenue par des associations féministes, des médecins, des psychiatres, et par une pétition. On retrouvera facilement tous les éléments en ligne, sur l’Internet. <br /> <br /> Étrange plaisir de susciter des cris <br /> <br /> Que Michel Dubec éprouve, lors de rapports sexuels, du plaisir à obtenir « la défaveur de sa partenaire (…) à faire crier la femme, peu importe la nature de ses cris », est une chose. Il peut fort bien le penser. Il ne lui est cependant pas permis d’obtenir des cris d’une nature qui n’importerait pas hors d’une relation sadomasochiste entre adultes consentants. Il est surtout proche de l’insulte et de la diffamation, à l’égard des hommes n’ayant nullement le besoin ou l’envie de susciter des cris de douleur ou d’autre nature que ceux dus à un plaisir de leur partenaire, de s’exprimer de la sorte en s’autorisant de son autorité d’expert devant les tribunaux français. Mais ce n’est pas, ici, l’essentiel. Ce qui importe, c’est de comprendre la nature de l’article consacré à Michel Dubec par le chroniqueur judiciaire du Figaro. Il suffit de le consulter pour estimer, au plus proche de la mise en œuvre de moyens tendant à la meilleure objectivité possible, que cet article est laudateur, et totalement, des mois après les faits, hors d’actualité perceptible par le lectorat du Figaro. Pourquoi ? <br /> <br /> <br /> <br /> Un échange de bons procédés ? <br /> <br /> Parmi les chroniqueuses et chroniqueurs judiciaires ayant prudemment fait état de l’affaire Michel Dubec-Maurice Joffo, celles et ceux à n’avoir pas trouvé quelques moyens d’en minorer la portée défavorable à Michel Dubec sont rares. De mémoire, seul l’article d’Isabelle Horlans, de France Soir, sans doute l’un des quotidiens français désormais les moins lus (et c’est dommage) avec L’Humanité et La Croix (et c’est tout autant dommage), parait quelque peu susceptible de ne pas ménager Michel Dubec. Oh, la critique sous-jacente est bien faible, et il est possible qu’à trop vouloir lire entre les lignes, on se trompe. <br /> <br /> Comme me le confiait un confrère spécialisé des affaires judiciaires tant au plan national qu’international, « tu comprends, Dubec se montre très sympa avec les journalistes, et il est généralement apprécié. ». Il est certain qu’un expert capable de fournir « la » ou « les » citation(s) qui feront mouche, structureront un article, voire fournissant un gros titre est pain béni pour le chroniqueur judiciaire. Lequel travaille dans l’urgence, est un familier des experts, des membres du barreau, de la magistrature : on s’ennuie beaucoup à attendre un jugement, on déjeune, voire dîne avec les experts, les avocats de la défense et de la partie civile, on copine avec l’escorte… Et parfois, si l’un ou l’autre est susceptible d’être un informateur privilégié, de vous livrer en douce une exclusivité, eh bien, on le « soigne », et c’est bien normal. Une fois l’exclusivité obtenue, une consœur, un confrère se chargera d’égratigner l’informateur s’il doit l’être, soit s’il le mérite. De même, pour les affaires de dopage dans le sport, la rédaction sportive sait à l’occasion se défausser sur les faits-diversiers. C’est le b-a-ba du métier qui, pour l’investigation, s’apparente (de loin, avec bien moins de moyens) à celui de détective privé. Mais il est tout simplement possible que Michel Dubec, qui jouit d’une forte notoriété, ait pu influencer naturellement, par sa faconde, Stéphane Durand-Soufflant, qui n’avait aucune raison de travestir la vérité. Faisant preuve d’une délicatesse certaine, Brigitte Brami s’abstient de relever l’inexactitude relative à sa condamnation. Des approximations de ce genre ne constituent certes pas une faute professionnelle, même vénielle, mais il est cependant bon que la lectrice ou le lecteur n’ait pas à rectifier « de soi-même », et qu’ils soient informés, ainsi que Stéphane Durant-Soufflant, de la nature exacte de la condamnation purgée par Brigitte Brami, libérée par anticipation pour conduite irréprochable en détention. <br /> <br /> <br /> <br /> À vous de voir… voire d’agir ! <br /> <br /> L’actualité de cet article, ce serait, si j’étais mauvaise langue, d’anticiper sur les possibles réactions d’une chambre disciplinaire. Ce serait faire injure à ses membres, comme ce serait faire injure aux membres du tribunal ayant jugé Brigitte Brami, de dire qu’il suffirait d’un tel article pour les placer sous influence. Stéphane Durand-Soufflant le sait sans doute fort bien : son article n’a sans doute pas déplu à Michel Dubec, mais il ne lui sera d’aucune utilité devant une chambre disciplinaire. Cet élément ne sera sans doute ni cité, ni pris en compte d’aucune manière. De même, le droit de réponse de Brigitte Brami n’influencera pas une chambre disciplinaire. Mais une telle chambre peut-elle être influençable ? D’aucuns, dans l’affaire de la remontrance adressée au juge d’instruction de l’affaire d’Outreau ont pu le supputer. Ce ne sera pas, à l’égard de cette chambre disciplinaire, ici, ou ailleurs, de ma part, le cas. Chacun peut se fonder son opinion, conforter la pétition lancée par Brigitte Brami si, selon son intime conviction, cela semble s’imposer, ou à l’inverse soutenir Michel Dubec en lui apportant un témoignage de sympathie. Là n’est pas vraiment l’objet. Mais comme l’article de Michel Dubec a été parfois photocopié, transmis, et que le droit de réponse pourrait l’être bien moins, autant, ici, le reproduire… <br /> <br /> <br /> <br /> « Dans un article intitulé "Les tourments d'un expert agrée par la Cour de cassation" publié dans votre édition du 20 avril 2009 dans la rubrique Société et signé par Monsieur Stéphane Durand-Souffland, Madame Brigitte B. est mise en cause. Étant aisément identifiable en raison des précisions fournies par l'article, je vous prie de bien vouloir, en application de l'article 13 de la loi du 29 juillet 1881, publier le texte suivant sans le modifier : <br /> <br /> "Personnellement mise en cause dans un article intitulé "Les tourments d'un expert agréé par la Cour de cassation" signé de Monsieur Stéphane Durand-SOUFFLAND et publié le 20 avril dernier, je souhaite y répondre en précisant plusieurs points : <br /> <br /> S'il est vrai que j'ai été condamnée pour des appels téléphoniques malveillants qui concernent le docteur Michel DUBEC dont j'étais la patiente, faits qui ont donné lieu à une audience dont votre journal s'est abstenu de rendre compte alors qu'elle était de nature à expliquer mon comportement, la décision à laquelle vous avez fait allusion n'a rien à voir avec ma critique de l'ouvrage du docteur Michel DUBEC, laquelle n'a donné lieu à aucune poursuite. <br /> <br /> Contrairement à ce qui a été dit, je me suis contentée de reproduire sans les modifier des extraits d'un ouvrage public et d'attirer l'attention des personnes concernées par la lutte contre le viol sur le caractère surprenant de certaines expressions de la part d'un expert psychiatre, lequel parlant de Guy Georges a écrit: "Si un homme est trop respectueux d'une femme, il ne ‘bande pas." ; "Oui, c'était possible de s'identifier à ce violeur qui baise des filles superbes contre leur gré." ; "Jusque-là on peut le comprendre, et même il nous fait presque rêver". Chacun peut d'ailleurs se reporter au contexte dont ces phrases sont extraites pour en apprécier la portée. <br /> <br /> Je ne peux être tenue pour responsable des poursuites engagées à l'encontre du docteur Michel Dubec à raison de ces propos pour deux raisons. Je n'ai pas personnellement porté plainte et les propos incriminés ont un caractère public. <br /> <br /> Je ne suis pas non plus responsable de la condamnation définitive du docteur Michel DUBEC pour injures à caractère racial." <br /> <br /> Croyez, Monsieur, » &c. <br /> <br /> <br /> <br /> Une affaire qui divise certaines militantes <br /> <br /> Que ce soit par souci d’efficacité tactique ou par conviction, certaines associations féministes ou des sites ou des individualités se sont solidarisés avec Brigitte Brami. D’autres se sont abstenues, d’autres encore ont pris leurs distances mais aucune association féministe n’a pris ouvertement fait et cause pour Michel Dubec. S’en prendre à la liberté d’expression dans le cas d’un auteur du Seuil, d’une notabilité du monde de l’édition mais aussi d’autres cercles, c’est plus délicat que de s’opposer à une quelconque agence de publicité soupçonnée de sexisme. On peut le comprendre, l’admettre. De plus, les associations ont parfois d’autres urgences, d’autres priorités. Il faut le comprendre et admettre. Il en est sans doute autrement des associations de victimes. Soit les 12 plaintes diligentées à l’encontre de Michel Dubec sont des dénonciations « fantaisistes » comme il qualifie celles des associations féministes et des femmes et des hommes qui ont dénoncé la teneur de son livre, Le Plaisir de tuer, soit pas. Il appartient à chacun de s’informer et, au besoin, de se prononcer sereinement. Ou de ne rien faire, selon son bon plaisir, qui ne saurait être assimilé à celui de faire crier ou de tuer, ou de faire condamner hâtivement… <br /> <br /> Épilogue… provisoire <br /> <br /> Depuis cet épisode, le droit de réponse de Brigitte Brami a été publié par Le Figaro. Michel Dubec a comparu devant la chambre disciplinaire de première instance de l'Ordre des médecins, Stéphane Durand-Soufflant venant, de même que le juge Thiel, déposer en tant que témoins de moralité pour Michel Dubec (mais aucun pigiste du Figaro n'était la pour faire état des dix plaintes visant Michel Dubec et estimées recevables). Brigitte Brami, sur nouvelle plainte pour harcèlement de la part de Michel Dubec, pour des faits concomitants a ceux lui ayant valu la première condamnation, s'est vue de nouveau, le 15 octobre 2009, condamnée a 15 mois de détention, et un mandat d'arrêt a été délivré.. <br /> <br /> Jef Tombeur<br /> <br /> <br /> <br /> Commentaires<br /> <br /> POURQUOI ?<br /> J'ai avant tout besoin d'argent mais aussi :<br /> Pourquoi ai -je si froid ?<br /> Pourquoi me recherche t-on au fait ?<br /> J’ai simplement voulu combattre mes crises de spasmophilie il y a 14 ans en allant chez dubec.<br /> Pourquoi ai je si peur de retourner en prison ?<br /> Pourquoi est ce que.je.pleure.en marchant ?<br /> pourquoi est-ce que personne ne peut vraiment m'aider ?<br /> Pourquoi cette.prise.de.conscience si tardive de.la saloperie.du.monde ? <br /> Pourquoi n’ai-je plus envie de vivre ?<br /> Pourquoi j'ai dû quitter mon quartier, mes voisins, mes habitudes et mon studio ?<br /> Pourquoi j ai du abandonner ma chienne ?<br /> Pourquoi je compte mes sous comme une clocharde pour payer des hôtels sordides ?<br /> Pourquoi mon affaire parfois intéresse internautes et associations mais que ma situation concrète se dégrade de jour en jour ?<br /> Pourquoi je me sens si lasse ?<br /> Pourquoi les lettres recommandées AR pleuvent-elles ?<br /> Pourquoi ce décalage entre l'innocente que tous les pores de ma peau crient que je suis et la condamnation de > (terme de Fleury Mérogis>> qu'on a décidé à mon encontre ? Pourquoi des flics ont joué les shérifs en débarquant chez ma mère de 80 ans et menaçant de défoncer la porte ?<br /> Pourquoi Marie-Thérèse n'est plus là pour me comprendre et me soutenir ?<br /> Comment je vais faire pour payer l'hôtel demain ?<br /> Pourquoi même mon frère qui m'a tant soutenue vient d'abdiquer violemment ?<br /> Pourquoi tout le monde trouve ma situation très injuste mais tout le monde reste impuissant ? <br /> Je ne comprends plus rien, <br /> c'est quoi ça ?<br /> Aidez-moi !<br /> Brigitte BRAMI<br /> <br /> Posté par Brigitte Brami, 16 décembre 2009 à 13:41<br /> <br /> Merci Monique<br /> Merci Monique, tu es celle qui a le mieux et le plus complètement résumé mon affaire. (PS / G. TOUJOURS AUTANT besoin D'AIDE !). Je me servirai volontiers si tu ne vois pas d'inconvénient, de ton lien/blog comme référence auprès des autres internautes qui manquent d'infos.<br /> Passe de très bonnes fêtes de fin d'année; <br /> BISES; <br /> Brigitte<br /> <br /> Posté par Brigitte, 23 décembre 2009 à 14:06<br /> <br /> Remerciements a ceux qui m’ont aidée dans la pénible épreuve que me fait subir volontairement le Dr et expert psychiatre : miche<br /> Remerciements a ceux qui m’ont aidée dans la pénible épreuve que me fait subir volontairement le Dr et expert psychiatre : Michel dubec, suite à ma démarche citoyenne qui a abouti à une interdiction pour lui d'exercer pendant trois mois (jugement de la Chambre disciplinaire départementale du C.O DES Médecins du 4 décembre 2009).<br /> <br /> <br /> <br /> Chanson Pour L'Auvergnat de Georges Brassens <br /> <br /> Elle est à toi cette chanson <br /> Toi l'Auvergnat qui sans façon <br /> M'as donné quatre bouts de bois <br /> Quand dans ma vie il faisait froid <br /> Toi qui m'as donné du feu quand <br /> Les croquantes et les croquants <br /> Tous les gens bien intentionnés <br /> M'avaient fermé la porte au nez <br /> Ce n'était rien qu'un feu de bois <br /> Mais il m'avait chauffé le corps <br /> Et dans mon âme il brûle encore <br /> A la manière' d'un feu de joie <br /> <br /> [Refrain] : <br /> Toi l'Auvergnat quand tu mourras <br /> Quand le croquemort t'emportera <br /> Qu'il te conduise à travers ciel <br /> Au père éternel <br /> <br /> Elle est à toi cette chanson <br /> Toi l'hôtesse qui sans façon <br /> M'as donné quatre bouts de pain <br /> Quand dans ma vie il faisait faim <br /> Toi qui m'ouvris ta huche quand <br /> Les croquantes et les croquants <br /> Tous les gens bien intentionnés <br /> S'amusaient à me voir jeûner <br /> Ce n'était rien qu'un peu de pain <br /> Mais il m'avait chauffé le corps <br /> Et dans mon âme il brûle encore <br /> A la manière' d'un grand festin <br /> <br /> [Refrain] <br /> <br /> Elle est à toi cette chanson <br /> Toi l'étranger qui sans façon <br /> D'un air malheureux m'as souri <br /> Lorsque les gendarmes m'ont pris <br /> Toi qui n'as pas applaudi quand <br /> Les croquantes et les croquants <br /> Tous les gens bien intentionnés <br /> Riaient de me voir emmener <br /> Ce n'était rien qu'un peu de miel <br /> Mais il m'avait chauffé le corps <br /> Et dans mon âme il brûle encore <br /> A la manière' d'un grand soleil <br /> <br /> [Refrain]<br /> <br /> Posté par Brigitte Brami, 10 janvier 2010 à 16:13
B
Bonjour,<br /> Je me nomme Brigitte Brami, de ma vie, je n'ai jamais ni volé, ni tué, ni agressé qui que ce soit, je n'ai jamais fait subir à des enfants des attouchements (ni à personne d'autre d'ailleurs, je suis bien trop fière pour faire le premier pas, j'ai toujours attendu, qu'on prenne les initiatives...), je ne me suis jamais livrée à du trafic de stupéfiant, je n'ai à mon actif fait preuve d'aucun délit de corruption, je n'ai jamais fraudé le fisc, ni mis le feu à une baraque, ni même abuser la SNCF ou la RATP ! et pourtant, hier, j'ai été condamnée à 15 mois fermes de prison avec mandat d'arrêt ! Hier, en effet, le 15 octobre 2009, le délibéré a été prononcé. Il y a, dans cette affaire - dont, première en France, j'ai déjà été jugée pour les mêmes faits, ce qui ne peut pas être une récidive puisque les faits sont antérieurs au premier jugement ! - deux perdants et un gagnant. On a deviné qui est le gagnant. La perdante, c’est moi, mais la plus grande perdante, c’est la justice française. Elle voit très clair. La loi est supposée faite pour affranchir le faible, mais c’est le contraire qui se vérifie trop souvent. Rendons la justice aveugle, de façon à ce qu’elle ne puisse distinguer le faible du puissant…<br /> Je vous demande à tous,amiEs ou inconnuEs de l'aide; Vous avez le choix entre plusieurs possibilités : 1) D'abord diffuser sur toutes vos listes cet email 2) Postez-le sur tous les sites que vous connaissez, 3) Parlez-en le plus possible autour de vous si possible à des médias et journalistes en priorité 4) L'aide peut également être d'ordre financier car les très grands avocats assez solides pour lutter contre le pervers national qui m'a faite emprisonnée coûtent très cher et c'est normal : il faut un sacré travail et une énergie incroyable pour se battre contre le personnage en question. Donc, aucune somme ne sera négligeable : 5, 10 euros, et beaucoup plus si vous le pouvez me seront très utiles (je vous enverrai bien entendu un reçu) à mon nom et à l'adresse suivante : 1, rue Vidal de la BLACHE - 75020 PARIS - 5) l'aide morale : une lettre, un petit mot gentil me soutiendront car je reste avant tout un être humain que 14 ans de conflits avec dubec ont brisé, même si je veux parfois donner le change - toujours cet amour propre ! - et que mon amertume se manifeste quelque fois par de l'hystérie, de l'agressivité ou de la fausse arrogance 6) des lettres de soutien à verser au dossier : certificats moraux, lettres qui viennent d'organismes institutionnels, ou associatifs, et contestant dubec - ça peut être pour son acharnement judiciaire contre moi ou pour ce qu'il a écrit dans son livre ou les écrits qu'il a signés lors d'expertises.<br /> Merci d'avance à toutes celles et tous ceux qui répondront à ce SOS. Je compte réellement sur vous toutes et tous.<br /> Brigitte Brami
"Lez-La-Meute" (tranquille)
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